Soulager et contribuer au bien-être : une réelle vocation
Enfant, je rêvais de devenir vétérinaire : la volonté de soulager et de contribuer au bien-être des autres m’animait déjà…
Ma passion pour les contacts humains, mes prédispositions naturelles d’écoute, d’empathie et l’idée de vouloir faire du bien autour de moi m’amenèrent naturellement à évoluer dans le milieu de la santé.
J’ai été déléguée médicale pendant de longues années. Cette activité m’a permis de me former en pharmacologie (science du médicament qui étudie ses effets et son devenir dans l’organisme) et de développer la relation à l’autre.
Mon rôle était alors de présenter des solutions thérapeutiques et de veiller à leur bonne utilisation auprès du corps médical. Le but ? Répondre à la problématique des patients et de les guider ainsi sur le chemin de la guérison.
J’avais déjà le sentiment de participer indirectement à leur bien-être.
Mes 17 années d’expérience et d’échanges auprès des médecins m’ont permis de m’enrichir à la fois sur le plan professionnel et personnel.
J’ai acquis de solides connaissances scientifiques et techniques sur les diverses pathologies et leur réponses thérapeutiques.
« Existe -t il pour l’homme un bien plus précieux que la Santé ? »
Socrate
Aujourd’hui, mon parcours de vie m’a permis de pratiquer un métier qui a du sens et qui correspond plus à mes aspirations : je reviens ainsi indirectement et « naturellement » à mon rêve d’enfant…
Un parcours atypique vers une prise de conscience générale
Mes dernières années d’activité m’ont fait prendre conscience des limites de la prise en charge allopathique, axée principalement sur le soulagement des symptômes. Je réalisais ainsi qu’il manquait quelque chose dans le parcours de soin : la prise en compte de la composante psychologique et émotionnelle qui considère la personne dans sa globalité «corps/âme/esprit» et qui s’intéresse aussi à l’origine de la maladie.
Mon métier ne correspondant plus à mes aspirations profondes, soumise à un stress permanent associé à la non écoute de mes besoins, mon corps s’est exprimé, m’envoyant un 1er message sous la forme d’un » burn-out « .
Ne m’écoutant toujours pas j’en reçu un second mais de façon plus brutale et intense. A l’âge de 40 ans, j’ai donc vécu de près ce que de nombreuses personnes éprouvent face à la maladie : j’ai été confrontée à l‘épilepsie.
Ma prise de conscience sur la fragilité de mon capital santé et la volonté de mieux gérer les maux dans mon quotidien m’ont amenée sur le chemin des médecines dites douces. J’ai ainsi découvert la Naturopathie.
J’ai découvert grâce à cette pratique naturelle l’utilisation des plantes en premier lieu qui a eu pour effet d’alléger les effets secondaires des médicaments. J’ai aussi adopté de meilleures règles d’hygiène de vie ainsi que d’autres outils axés sur la gestion du stress et émotionnelle.
Cette médecine naturelle a changé ma vie ! J’ai pu constater à quel point elle accompagnait parfaitement la prise en charge médicale. Convaincue de l’intérêt de cette complémentarité, j’ai choisi aujourd’hui pour le bien du plus grand nombre d’en faire mon métier.
Une démarche de développement personnel associée à cet art de vivre que représente la naturopathie m’ont permis d’avoir du recul sur la vie. En étant plus à l’écoute de mon corps et de ses besoins, j’ai compris que la maladie n’était pas une fatalité mais le début d’une ouverture sur soi.
La prévention, l’écoute de ses besoins et la prise en compte de l’aspect émotionnel favorisent également un retour vers la Santé.